S’il peut être admis que les services municipaux viennent en aide à ceux de la CAB dans des circonstances exceptionnelles, cela ne peut se faire que dans la concertation et le respect des équipes. Certainement pas dans les rodomontades et la mise en scène médiatique.
Devant l’exaspération légitime de nos concitoyens, Gilles Simeoni tente une récupération grossière de la situation. C’est indécent. Il agit en pompier pyromane.
Il ne peut en effet s’exonérer de sa responsabilité écrasante dans la paralysie de la CAB, pas plus que de celle de son mouvement dans la formation de la crise régionale des déchets.
François Tatti a lui failli dans toutes ses missions. A la CAB et au SYVADEC, dont il est depuis huit ans le président, sans avoir su anticiper les échéances de cette année et ce malgré les moyens considérables mis à sa disposition.
Sur fond de règlements de compte politiciens, l’un et l’autre, ont joué le pourrissement de la situation, prenant en otage l’ensemble de la population de l’île.
Pour les habitants de la CAB, c’est la double peine : non seulement le service a été dégradé mais ils payent aujourd’hui beaucoup plus cher leur Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM).
Il est grand temps de dire basta cusì et de sanctionner par le suffrage de tels comportements.
Devant l’exaspération légitime de nos concitoyens, Gilles Simeoni tente une récupération grossière de la situation. C’est indécent. Il agit en pompier pyromane.
Il ne peut en effet s’exonérer de sa responsabilité écrasante dans la paralysie de la CAB, pas plus que de celle de son mouvement dans la formation de la crise régionale des déchets.
François Tatti a lui failli dans toutes ses missions. A la CAB et au SYVADEC, dont il est depuis huit ans le président, sans avoir su anticiper les échéances de cette année et ce malgré les moyens considérables mis à sa disposition.
Sur fond de règlements de compte politiciens, l’un et l’autre, ont joué le pourrissement de la situation, prenant en otage l’ensemble de la population de l’île.
Pour les habitants de la CAB, c’est la double peine : non seulement le service a été dégradé mais ils payent aujourd’hui beaucoup plus cher leur Taxe d’Enlèvement des Ordures Ménagères (TEOM).
Il est grand temps de dire basta cusì et de sanctionner par le suffrage de tels comportements.