Le principe d’une instance de coordination sur le modèle de la chambre des territoires a été avancé. Celle-ci devra pour nous, afin de répondre à l’objectif énoncé, être implantée à Bastia, bénéficier de réelles prérogatives et des moyens afférents. Nous y veillerons. C'est un premier geste dans l'optique d'une collectivité unique qui devra être nécessairement déconcentrée. La territorialisation des services évoquée, sur laquelle nous attendons des précisons, devra consacrer ce principe, ce sur quoi nous serons vigilants.
En portant le nombre d'élus de la future assemblée unique à 63, contre 51 actuellement, et surtout en tablant sur une prime portée à 11 sièges à la liste arrivée en tête, contre 9 aujourd'hui, le gouvernement a également privilégié la gouvernabilité de l'institution et la garantie pour elle d'une plus grande lisibilité démocratique. Nous nous en réjouissions bien que pour nous un effort plus important aurait pu être fait sur ce point.
Concernant la question plus délicate du référendum, il semble acquis que sous sa forme actuelle, la réforme ne permettra pas la consultation du peuple. Bien que le parallélisme des formes un temps évoqué pour en justifier l'organisation ne se justifie pas dans le cadre d'un amendement à l'article 13 de la loi NOTRe, cette revendication demeure vive dans l'île. Nous l'avions d'ailleurs soutenue en novembre dernier. C'est pourquoi, dans les jours à venir, nous consulterons nos militants et sympathisants pour envisager avec eux la suite à donner à ce point.
En portant le nombre d'élus de la future assemblée unique à 63, contre 51 actuellement, et surtout en tablant sur une prime portée à 11 sièges à la liste arrivée en tête, contre 9 aujourd'hui, le gouvernement a également privilégié la gouvernabilité de l'institution et la garantie pour elle d'une plus grande lisibilité démocratique. Nous nous en réjouissions bien que pour nous un effort plus important aurait pu être fait sur ce point.
Concernant la question plus délicate du référendum, il semble acquis que sous sa forme actuelle, la réforme ne permettra pas la consultation du peuple. Bien que le parallélisme des formes un temps évoqué pour en justifier l'organisation ne se justifie pas dans le cadre d'un amendement à l'article 13 de la loi NOTRe, cette revendication demeure vive dans l'île. Nous l'avions d'ailleurs soutenue en novembre dernier. C'est pourquoi, dans les jours à venir, nous consulterons nos militants et sympathisants pour envisager avec eux la suite à donner à ce point.
Enfin, le gouvernement a fait preuve de constance et de responsabilité en refusant de traiter des revendications aussi dogmatiques que le statut de résident ou la coofficialité. Porteuses de plus de problèmes que de solutions et éloignées des véritables besoins de notre île, elles ne sauraient constituer un avenir pour elle. Le gouvernement l'a compris et nous en sommes pleinement satisfaits.