Pour Jean Zuccarelli, « depuis 2005, date de création du nouvel incubateur régional porté par l’ADEC, on peut dire aujourd’hui que le dispositif d’incubation a acquis ses lettres de noblesse. Celui-ci peut faire état d’un excellent bilan, ce qui prouve la pertinence d’un tel outil dont la Corse ne peut se passer ».
Et d’ajouter : « Au début de l’année 2013, l’Incubateur Territorial de Corse a sélectionné 30 projets de création d’entreprises innovantes. En 7 ans, le Comité de sélection et de suivi s’est réuni à 19 reprises, alternativement à Ajaccio, Corte et Bastia. 46 projets de création d’entreprises innovantes ont été expertisés ».
En effet, parmi les 30 projets accompagnés, 7 ont été labellisés par le pôle de compétitivité "Capenergies", 8 projets ont été lauréats du Concours national d'aide à la création d'entreprises de technologies innovantes du Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche. 14 projets –soit près de la moitié des projets accompagnés par l’Incubateur– sont issus ou liés à la recherche publique : 4 projets issus de la recherche publique, c'est-à-dire qu’ils valorisent les résultats des travaux d’un laboratoire public. 10 projets sont liés à la recherche publique, autrement dit non issus du milieu académique mais ayant établi une collaboration avec un laboratoire public.
Au total, l’Incubateur Territorial de Corse a financé plus d’1,3 M€ de dépenses externes, soit une moyenne de 43 333 € par projet. 22 entreprises ont été créées sur le territoire, générant la création de 35 emplois directs, principalement des emplois qualifiés. Le montant des levées de fonds réalisées par l’ensemble des projets de l’incubateur s’élevait à 6,3 M€.
« Ces quelques chiffres parlent d’eux-mêmes et c’est aussi la raison pour laquelle le représentant de la Commission européenne M. Lucio Paderi a tenu à ce que le dispositif d’incubation soit amplifié », poursuit le président de l’ADEC. « Nous avons ainsi initié une nouvelle étape du dispositif d’incubation et je souhaite qu’il puisse étendre son activité de plusieurs manières : d’une part, en devenant un incubateur généraliste et en accueillant des projets même non issus ou liés à la recherche publique, et d’autre part, en disposant désormais de solutions d’hébergement : en premier lieu Bastia, puis Corte grâce à l’université de Corse, et enfin Ajaccio où des solutions ont d’ores et déjà été identifiées ».
« Je veux remercier enfin et tout particulièrement les principaux partenaires que sont les Chambres de commerce et d’industrie, l’université de Corse et les Communautés d’agglomération dont je salue la présence et sans lesquelles cette nouvelle page de l’incubation en Corse ne pourrait pas être écrite ».
Et d’ajouter : « Au début de l’année 2013, l’Incubateur Territorial de Corse a sélectionné 30 projets de création d’entreprises innovantes. En 7 ans, le Comité de sélection et de suivi s’est réuni à 19 reprises, alternativement à Ajaccio, Corte et Bastia. 46 projets de création d’entreprises innovantes ont été expertisés ».
En effet, parmi les 30 projets accompagnés, 7 ont été labellisés par le pôle de compétitivité "Capenergies", 8 projets ont été lauréats du Concours national d'aide à la création d'entreprises de technologies innovantes du Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche. 14 projets –soit près de la moitié des projets accompagnés par l’Incubateur– sont issus ou liés à la recherche publique : 4 projets issus de la recherche publique, c'est-à-dire qu’ils valorisent les résultats des travaux d’un laboratoire public. 10 projets sont liés à la recherche publique, autrement dit non issus du milieu académique mais ayant établi une collaboration avec un laboratoire public.
Au total, l’Incubateur Territorial de Corse a financé plus d’1,3 M€ de dépenses externes, soit une moyenne de 43 333 € par projet. 22 entreprises ont été créées sur le territoire, générant la création de 35 emplois directs, principalement des emplois qualifiés. Le montant des levées de fonds réalisées par l’ensemble des projets de l’incubateur s’élevait à 6,3 M€.
« Ces quelques chiffres parlent d’eux-mêmes et c’est aussi la raison pour laquelle le représentant de la Commission européenne M. Lucio Paderi a tenu à ce que le dispositif d’incubation soit amplifié », poursuit le président de l’ADEC. « Nous avons ainsi initié une nouvelle étape du dispositif d’incubation et je souhaite qu’il puisse étendre son activité de plusieurs manières : d’une part, en devenant un incubateur généraliste et en accueillant des projets même non issus ou liés à la recherche publique, et d’autre part, en disposant désormais de solutions d’hébergement : en premier lieu Bastia, puis Corte grâce à l’université de Corse, et enfin Ajaccio où des solutions ont d’ores et déjà été identifiées ».
« Je veux remercier enfin et tout particulièrement les principaux partenaires que sont les Chambres de commerce et d’industrie, l’université de Corse et les Communautés d’agglomération dont je salue la présence et sans lesquelles cette nouvelle page de l’incubation en Corse ne pourrait pas être écrite ».
