« La loi du 22 janvier 2002 qui a conféré à notre Collectivité des compétences élargies dans le domaine du développement économique notamment », a précisé Jean Zuccarelli, au cours de son allocution.
« C’est dans ce cadre que depuis cette date, votre Assemblée a délibéré à de nombreuses reprises en faveur de dispositif relatifs à la création et au développement des entreprises. Aussi, aujourd’hui, sur la base du présent rapport, il est proposé à votre Assemblée non pas d’adopter un dispositif supplémentaire, mais bel et bien un dispositif complémentaire ».
« Complémentaire et non supplémentaire car venant se positionner sur un besoin qui n’avait jamais fait l’objet d’un dispositif régional d’accompagnement, celui de la reprise-transmission d’entreprise. Or, comment ne pas reconnaitre toute l’importance et les enjeux liés à la reprise-transmission sur notre territoire, lorsque l’on connait l’âge moyen des chefs d’entreprise ; lorsque l’on connait la part prépondérante des TPE dans le tissu entrepreneurial insulaire ; lorsque l’on connait l’importance du secteur artisanal dans le tissu économique et la nécessité qu’il y a de préserver ce dernier tout comme les outils industriels dont dispose le territoire… Et je m’interromps, mais les arguments à cet effet seraient encore multiples. Multiple l’est également le processus d’accompagnement des projets de reprise-transmission ».
Et d’ajouter : « Bien souvent pour le cédant, le processus de transmission s’apparente au legs du travail de toute une vie professionnelle et fait donc intervenir de nombreux motifs personnels qu’il convient de prendre en compte dans l’accompagnement des projets ».
« Ainsi, la prise en compte dans un dispositif régional en faveur de la reprise-transmission de cette multiplicité nécessite l’implication de l’ensemble des acteurs qui prennent part à l’accompagnement de ces projets. À cet effet, soulignons que le présent dispositif a été élaboré dans le cadre d’une étroite concertation avec les membres de la Conférence Régionale de Coordination du Développement Economique et Social (CORECODES), que sont notamment les établissements consulaires, les communautés d’agglomérations, les services de l’Etat ».
« Il a été donné à chacun des partenaires, au regard de leurs expériences du terrain et de leurs missions, d’apporter une expertise fine et réaliste de difficultés rencontrées en matière de reprise-transmission, et des voies et moyens nécessaires pour réduire ces mêmes difficultés ».
« Il a également été donné l’occasion à chacun des partenaires de contribuer dans les domaines de spécialité qui sont les leurs à la rédaction du programme régional, si bien que le rapport qui est soumis aujourd’hui à l’approbation de votre Assemblée constitue le réel fruit d’un travail collectif. Ce plan repose donc sur le constat partagé suivant en matière de reprise-transmission : la nécessité de se prémunir contre cinq sources d’échec que sont : Le manque d’anticipation et de préparation du cédant ; Le manque de repreneurs identifiés ; La difficulté des repreneurs à mobiliser les financements ; La survalorisation de l’entreprise à céder du fait de contingences affective de la part du cédant ; La dégradation de l’outil de production dans les dernières années précédant la transmission. C’est donc sur la base des cinq causes d’échec, que cinq volets opérationnels d’actions ont été élaborés : Animation ; Expertises et Conseils ; Formation ; Ressources Humaines et Financement. Ils en constituent le cœur de ce dispositif régional en faveur de la reprise-transmission… ».
« C’est dans ce cadre que depuis cette date, votre Assemblée a délibéré à de nombreuses reprises en faveur de dispositif relatifs à la création et au développement des entreprises. Aussi, aujourd’hui, sur la base du présent rapport, il est proposé à votre Assemblée non pas d’adopter un dispositif supplémentaire, mais bel et bien un dispositif complémentaire ».
« Complémentaire et non supplémentaire car venant se positionner sur un besoin qui n’avait jamais fait l’objet d’un dispositif régional d’accompagnement, celui de la reprise-transmission d’entreprise. Or, comment ne pas reconnaitre toute l’importance et les enjeux liés à la reprise-transmission sur notre territoire, lorsque l’on connait l’âge moyen des chefs d’entreprise ; lorsque l’on connait la part prépondérante des TPE dans le tissu entrepreneurial insulaire ; lorsque l’on connait l’importance du secteur artisanal dans le tissu économique et la nécessité qu’il y a de préserver ce dernier tout comme les outils industriels dont dispose le territoire… Et je m’interromps, mais les arguments à cet effet seraient encore multiples. Multiple l’est également le processus d’accompagnement des projets de reprise-transmission ».
Et d’ajouter : « Bien souvent pour le cédant, le processus de transmission s’apparente au legs du travail de toute une vie professionnelle et fait donc intervenir de nombreux motifs personnels qu’il convient de prendre en compte dans l’accompagnement des projets ».
« Ainsi, la prise en compte dans un dispositif régional en faveur de la reprise-transmission de cette multiplicité nécessite l’implication de l’ensemble des acteurs qui prennent part à l’accompagnement de ces projets. À cet effet, soulignons que le présent dispositif a été élaboré dans le cadre d’une étroite concertation avec les membres de la Conférence Régionale de Coordination du Développement Economique et Social (CORECODES), que sont notamment les établissements consulaires, les communautés d’agglomérations, les services de l’Etat ».
« Il a été donné à chacun des partenaires, au regard de leurs expériences du terrain et de leurs missions, d’apporter une expertise fine et réaliste de difficultés rencontrées en matière de reprise-transmission, et des voies et moyens nécessaires pour réduire ces mêmes difficultés ».
« Il a également été donné l’occasion à chacun des partenaires de contribuer dans les domaines de spécialité qui sont les leurs à la rédaction du programme régional, si bien que le rapport qui est soumis aujourd’hui à l’approbation de votre Assemblée constitue le réel fruit d’un travail collectif. Ce plan repose donc sur le constat partagé suivant en matière de reprise-transmission : la nécessité de se prémunir contre cinq sources d’échec que sont : Le manque d’anticipation et de préparation du cédant ; Le manque de repreneurs identifiés ; La difficulté des repreneurs à mobiliser les financements ; La survalorisation de l’entreprise à céder du fait de contingences affective de la part du cédant ; La dégradation de l’outil de production dans les dernières années précédant la transmission. C’est donc sur la base des cinq causes d’échec, que cinq volets opérationnels d’actions ont été élaborés : Animation ; Expertises et Conseils ; Formation ; Ressources Humaines et Financement. Ils en constituent le cœur de ce dispositif régional en faveur de la reprise-transmission… ».