« Afin d’élaborer collectivement les outils avec lesquels la Collectivité Territoriale de Corse –avec le soutien de l’État et de l’Union européenne– entend conduire la bataille contre le chômage, les assises de l’Emploi et de la Formation ont été organisées », a notamment indiqué Jean Zuccarelli, au cours de son allocution. « […] Avec ces assises, une synergie indispensable a été créée qui devra maintenant se poursuivre et se concrétiser par la mise en place de formations pleinement adaptées aux réalités du territoire, et donner aux Corses des perspectives d’emplois qualifiés. Dans cette logique, la mission de la Collectivité Territoriale de Corse réside dans l’organisation de l’offre de formation, qu’elle doit, dans un souci de développement économique et social, articuler autour de trois logiques : une logique de formation liée à l’insertion et à la lutte contre le chômage ; une logique de réponse aux besoins en qualification des entreprises ; une logique de projets liée au développement des territoires ».
Et d’ajouter : « Cette démarche se traduit par la programmation des formations en apprentissage, la définition d’un programme d’actions en faveur des demandeurs d’emploi jeunes et adultes, l’intervention en faveur de la formation des salariés et chefs d’entreprises, la structuration d’une information partagée ainsi que la mise en œuvre et le soutien des dispositifs d’accompagnement de ces différentes mesures ».
« Le programme qui vous est présenté est le fruit d’un travail de concertation et de partenariat. Il rend compte de la pertinence du concept de formation tout au long de la vie que la Collectivité Territoriale de Corse entend conduire dans une approche globale de sa politique de formation et d’insertion ».
Et d’ajouter : « Cette démarche se traduit par la programmation des formations en apprentissage, la définition d’un programme d’actions en faveur des demandeurs d’emploi jeunes et adultes, l’intervention en faveur de la formation des salariés et chefs d’entreprises, la structuration d’une information partagée ainsi que la mise en œuvre et le soutien des dispositifs d’accompagnement de ces différentes mesures ».
« Le programme qui vous est présenté est le fruit d’un travail de concertation et de partenariat. Il rend compte de la pertinence du concept de formation tout au long de la vie que la Collectivité Territoriale de Corse entend conduire dans une approche globale de sa politique de formation et d’insertion ».
À noter par ailleurs qu’au cours de la séance publique de l’Assemblée de Corse, le président de l’ADEC a également procédé à la présentation d’un rapport relatif à l’évolution du mode de portage et des missions du dispositif régional d’incubation d’entreprises innovantes en Corse.
« Les services de l’ADEC ont pu s’appuyer sur l’expertise de l’association nationale des incubateurs "Retis" et ont institué un Comité de suivi composé des principaux partenaires (CTC, services de l’Etat, Université de Corse, Communautés d’agglomération, Chambres de Commerce et d’Industrie) qui a validé les conclusions », a précisé Jean Zuccarelli.
« Les conclusions de cette expertise font état de la nécessité de créer une nouvelle structure juridique de portage sous la forme associative qui est la forme adoptée et recommandée pour quasiment tous les incubateurs de France. Ce travail a permis également de définir les voies et moyens d’élargir les missions de l’incubateur afin d’augmenter le flux de projets (de 5 à 20 projets) en s’affranchissant notamment du lien exclusif avec la recherche publique et en le dotant à court terme de moyens d’hébergement qui lui font cruellement défaut aujourd’hui […] ».
« Les services de l’ADEC ont pu s’appuyer sur l’expertise de l’association nationale des incubateurs "Retis" et ont institué un Comité de suivi composé des principaux partenaires (CTC, services de l’Etat, Université de Corse, Communautés d’agglomération, Chambres de Commerce et d’Industrie) qui a validé les conclusions », a précisé Jean Zuccarelli.
« Les conclusions de cette expertise font état de la nécessité de créer une nouvelle structure juridique de portage sous la forme associative qui est la forme adoptée et recommandée pour quasiment tous les incubateurs de France. Ce travail a permis également de définir les voies et moyens d’élargir les missions de l’incubateur afin d’augmenter le flux de projets (de 5 à 20 projets) en s’affranchissant notamment du lien exclusif avec la recherche publique et en le dotant à court terme de moyens d’hébergement qui lui font cruellement défaut aujourd’hui […] ».