Jean Zuccarelli, le président de l’École de la 2e Chance de Bastia, aux côtés d’Édith Cresson, présidente de la Fondation des Écoles de la 2e Chance, de Dominique Dujardin, vice-président du Réseau des e2c en France, de Bernard Giudicelli, directeur de la Mission locale Bastia-Balagne, de Louis Le Franc, préfet de Haute-Corse, d’Émile Zuccarelli, maire de Bastia et président de la CAB, de Claudine Filippi, directrice régionale Corse de l'Acsé
L’École de la 2e Chance est un projet qui tient particulièrement à cœur à Jean Zuccarelli. L’élu a fortement milité pour la création de cette structure associative inédite en Corse, visant l’intégration professionnelle et sociale durable des jeunes sortis du système éducatif, sans qualification et sans emploi.
« Il s’agit d’un dispositif innovant, prenant forme au sein du contrat urbain de cohésion sociale, avec le soutien de la Communauté d’agglomération de Bastia et de l’Acsé », précise Jean Zuccarelli.
« Le soin a été confié à la Mission locale de ficeler le dossier et l’e2c de Bastia, située aujourd’hui rue San Angelo, a accueilli sa 1ère promotion en septembre 2010. En 2011, nous comptions 63 stagiaires et nous accueillerons prochainement la 8ème promotion ; ce qui montre le chemin qui a été parcouru depuis ».
Et de préciser : « Comme le prévoit la charte du Réseau national des Écoles de la 2e Chance, notre établissement dispose désormais de moyens spécifiquement dédiés, tant en locaux qu’en personnel. Le financement est assuré par le FSE, l’État, la Collectivité Territoriale de Corse, le Conseil général de Haute-Corse et, bien sûr, la Communauté d’agglomération de Bastia qui a piloté l’opération, en étroite collaboration avec la Ville ».
« En langue corse, nous avons un verbe particulier : Spannà qui veut à la fois dire dépanner et épanouir et qui s’applique très bien au concept », ajoute Jean Zuccarelli. « En effet, pour nous, utiliser l’École de la 2e Chance c’est intervenir sur toutes ces pannes de la vie qui ont laissés nos jeunes concitoyens sur le bord de la route de l’emploi et de l’autonomie sociale. Mais c’est aussi favoriser leur épanouissement, en faisant prendre conscience à chacun des compétences qu’il a pour trouver la motivation nécessaire à acquérir celles qui lui manquent afin de réaliser son projet professionnel ».
« Il s’agit d’un dispositif innovant, prenant forme au sein du contrat urbain de cohésion sociale, avec le soutien de la Communauté d’agglomération de Bastia et de l’Acsé », précise Jean Zuccarelli.
« Le soin a été confié à la Mission locale de ficeler le dossier et l’e2c de Bastia, située aujourd’hui rue San Angelo, a accueilli sa 1ère promotion en septembre 2010. En 2011, nous comptions 63 stagiaires et nous accueillerons prochainement la 8ème promotion ; ce qui montre le chemin qui a été parcouru depuis ».
Et de préciser : « Comme le prévoit la charte du Réseau national des Écoles de la 2e Chance, notre établissement dispose désormais de moyens spécifiquement dédiés, tant en locaux qu’en personnel. Le financement est assuré par le FSE, l’État, la Collectivité Territoriale de Corse, le Conseil général de Haute-Corse et, bien sûr, la Communauté d’agglomération de Bastia qui a piloté l’opération, en étroite collaboration avec la Ville ».
« En langue corse, nous avons un verbe particulier : Spannà qui veut à la fois dire dépanner et épanouir et qui s’applique très bien au concept », ajoute Jean Zuccarelli. « En effet, pour nous, utiliser l’École de la 2e Chance c’est intervenir sur toutes ces pannes de la vie qui ont laissés nos jeunes concitoyens sur le bord de la route de l’emploi et de l’autonomie sociale. Mais c’est aussi favoriser leur épanouissement, en faisant prendre conscience à chacun des compétences qu’il a pour trouver la motivation nécessaire à acquérir celles qui lui manquent afin de réaliser son projet professionnel ».
