Photo : Corse Net Infos
« Il s’agit d’un mouvement d’ampleur à la fois technologique et sociétal, celui du passage du haut débit au très haut débit », a notamment indiqué Jean Zuccarelli, au cours de son allocution.
« Incontestablement, le haut débit fixe, comme par exemple l’ADSL, nous a permis, dans la précédente décennie, d’entrer de plein pied dans l’internet mondial et d’ancrer durablement le numérique dans nos usages qu’ils soient professionnels ou personnels. Dans le même temps, l’internet mobile, complémentaire aux usages haut débit fixe, a connu une progression fulgurante sous la pression, notamment des Smartphones et des applications mobiles. La demande a permis le succès des réseaux 3G, des réseaux WIFI publics et d’accélérer l’arrivée de la 4G ».
« Toutefois, le succès du haut débit ne doit pas occulter les enjeux que représente le développement du très haut débit. C’est pour cette raison que dès le début de cette mandature, j’ai voulu entamer une réflexion stratégique sur le développement du très haut débit en Corse. Elle s’est traduite en juillet 2012 par notre Schéma Directeur Territorial d’Aménagement Numérique dans lequel nous avons dessiné la trajectoire à 20 ans de la Corse vers le très haut débit pour tous et partout, y compris dans nos territoires les plus ruraux. Ce SDTAN, nous l’avons défini en concertation avec l’ensemble des acteurs impliqués dans l’aménagement numérique de la Corse, représentants de l’Etat, collectivités, opérateurs… Nous y avons intégré l’action d’Orange sur l’agglomération d’Ajaccio et celle de SFR sur l’agglomération de Bastia et Biguglia pour orienter notre action plus spécifiquement sur le rural, là où précisément l’investissement privé ne se manifeste pas, faute semble-t-il de rentabilité suffisante ».
Et Jean Zuccarelli de rappeler que « le basculement du cuivre à la fibre optique est un mouvement dans lequel s’inscrit l’ensemble des pays modernes. En France, le gouvernement a affiché son ambition que d’une couverture en fibre optique de 100% des foyers d’ici 2020. Nous nous inscrivons pleinement dans ce mouvement même si de nombreuses interrogations demeurent, notamment le rythme de déploiement, la couverture des zones rurales, la cohabitation avec les évolutions technologiques haut débit, la réalité de la demande et la nécessité ou non de l’accélérer ou l’anticiper ».
« En Corse, nous avons décidé de nous tourner résolument vers le très haut débit. Ces premières prises en sont la preuve, elles tracent la voie de l’avenir. Elles nous prouvent qu’en Corse il est possible d’entreprendre et de mettre en œuvre des technologies innovantes et avancées à partir d’un tissu d’entreprises et de compétences locales. Cela ne fait que renforcer ma conviction dans notre capacité à créer le réseau très haut débit dont notre île a besoin pour favoriser l’émergence d’un Pôle d’excellence numérique... ».
« Incontestablement, le haut débit fixe, comme par exemple l’ADSL, nous a permis, dans la précédente décennie, d’entrer de plein pied dans l’internet mondial et d’ancrer durablement le numérique dans nos usages qu’ils soient professionnels ou personnels. Dans le même temps, l’internet mobile, complémentaire aux usages haut débit fixe, a connu une progression fulgurante sous la pression, notamment des Smartphones et des applications mobiles. La demande a permis le succès des réseaux 3G, des réseaux WIFI publics et d’accélérer l’arrivée de la 4G ».
« Toutefois, le succès du haut débit ne doit pas occulter les enjeux que représente le développement du très haut débit. C’est pour cette raison que dès le début de cette mandature, j’ai voulu entamer une réflexion stratégique sur le développement du très haut débit en Corse. Elle s’est traduite en juillet 2012 par notre Schéma Directeur Territorial d’Aménagement Numérique dans lequel nous avons dessiné la trajectoire à 20 ans de la Corse vers le très haut débit pour tous et partout, y compris dans nos territoires les plus ruraux. Ce SDTAN, nous l’avons défini en concertation avec l’ensemble des acteurs impliqués dans l’aménagement numérique de la Corse, représentants de l’Etat, collectivités, opérateurs… Nous y avons intégré l’action d’Orange sur l’agglomération d’Ajaccio et celle de SFR sur l’agglomération de Bastia et Biguglia pour orienter notre action plus spécifiquement sur le rural, là où précisément l’investissement privé ne se manifeste pas, faute semble-t-il de rentabilité suffisante ».
Et Jean Zuccarelli de rappeler que « le basculement du cuivre à la fibre optique est un mouvement dans lequel s’inscrit l’ensemble des pays modernes. En France, le gouvernement a affiché son ambition que d’une couverture en fibre optique de 100% des foyers d’ici 2020. Nous nous inscrivons pleinement dans ce mouvement même si de nombreuses interrogations demeurent, notamment le rythme de déploiement, la couverture des zones rurales, la cohabitation avec les évolutions technologiques haut débit, la réalité de la demande et la nécessité ou non de l’accélérer ou l’anticiper ».
« En Corse, nous avons décidé de nous tourner résolument vers le très haut débit. Ces premières prises en sont la preuve, elles tracent la voie de l’avenir. Elles nous prouvent qu’en Corse il est possible d’entreprendre et de mettre en œuvre des technologies innovantes et avancées à partir d’un tissu d’entreprises et de compétences locales. Cela ne fait que renforcer ma conviction dans notre capacité à créer le réseau très haut débit dont notre île a besoin pour favoriser l’émergence d’un Pôle d’excellence numérique... ».