Ce dernier a démontré hier encore, qu'il était au contraire pleinement mobilisé dans la recherche de solutions pragmatiques et efficaces permettant à notre île de faire face aux problèmes qui se posent aujourd'hui à elle, en s'appuyant notamment sur une organisation territoriale modernisée et déconcentrée.
La collectivité unique qui devra au 1er janvier 2018 remplacer la CTC et les conseils généraux y concourt. Son inscription dans la loi NOTRe consacre également son ancrage dans le droit commun, contrairement au projet de 2003. Je m'en félicite pleinement.
Cette ambition s'inscrit dans le souci d'exploiter à fond notre cadre républicain, en repoussant les aventures constitutionnelles réclamées par ceux qui, se considérant hors de la République, sont incapables d'apprécier le champs des possibles qu'elle nous offre pourtant.
Enfin je suis satisfait que le vœu de notre groupe de la Gauche Républicaine de voir la gouvernabilité de la future collectivité de Corse assurée, ait été entendu. Cela garantira la cohérence et l'efficacité des politiques mises en œuvre par la future Assemblée de Corse.