Tout d’abord, il convient de souligner le succès de la pétition, lancée en ce sens sur Internet, comptabilisant aujourd’hui plus de 38 000 signatures. "L’union fait la force" est une maxime qui a véritablement pris tout son sens, à travers la mobilisation de la population comme de la classe politique insulaire.
Rappelons qu’en décembre dernier, la majorité territoriale a proposé deux motions, adoptées à l’unanimité par l’Assemblée de Corse.
La première demandant qu’une "journée d’hommage aux victimes et de recueillement pour l’ensemble du football français" soit instaurée le 5 mai, et que plus aucune compétition de football ne se déroule en France ce jour-là. L’Angleterre "qui, depuis les drames du Heysel et de Hillsborough, a interdit le déroulement de matchs de football aux dates du 15 avril et du 29 mai", était notamment citée en exemple.
La seconde motion proposait, pour sa part, que la journée du 5 mai soit désormais exempte de tout match de football en France, tout en soulignant "la promesse, jamais tenue par les autorités du football français, de faire de cette date un jour sans compétition professionnelle".
Le récent verdict de la FFF et de la LFP ne concerne, pour l’heure, que le 5 mai 2012. Il nous incombe ainsi de poursuivre notre démarche, sans fléchir, pour que la date du drame de Furiani soit dument inscrite dans les règlements de ces instances.
Vingt ans après, droit de mémoire et recueillement sont plus que jamais nécessaires, à l’égard des victimes de la catastrophe et de leurs familles.
Sempre in core è à mente, ùn ci scurderemu… ».
Rappelons qu’en décembre dernier, la majorité territoriale a proposé deux motions, adoptées à l’unanimité par l’Assemblée de Corse.
La première demandant qu’une "journée d’hommage aux victimes et de recueillement pour l’ensemble du football français" soit instaurée le 5 mai, et que plus aucune compétition de football ne se déroule en France ce jour-là. L’Angleterre "qui, depuis les drames du Heysel et de Hillsborough, a interdit le déroulement de matchs de football aux dates du 15 avril et du 29 mai", était notamment citée en exemple.
La seconde motion proposait, pour sa part, que la journée du 5 mai soit désormais exempte de tout match de football en France, tout en soulignant "la promesse, jamais tenue par les autorités du football français, de faire de cette date un jour sans compétition professionnelle".
Le récent verdict de la FFF et de la LFP ne concerne, pour l’heure, que le 5 mai 2012. Il nous incombe ainsi de poursuivre notre démarche, sans fléchir, pour que la date du drame de Furiani soit dument inscrite dans les règlements de ces instances.
Vingt ans après, droit de mémoire et recueillement sont plus que jamais nécessaires, à l’égard des victimes de la catastrophe et de leurs familles.
Sempre in core è à mente, ùn ci scurderemu… ».